π (also known as Pi) is a 1998 black-and-white American psychological thriller directed by Darren Aronofsky, who won the Directing Award at the 1998 Sundance Film Festival, the Independent Spirit Award for Best First Screenplay and the Gotham Open Palm Award. This film was Darren Aronofsky's directorial debut.

The title refers to the mathematical constant π (pi)

PI => 3.14

PI => 3.14
Le nombre pi, noté par la lettre grecque du même nom π, est une constante mathématique dont la valeur est le rapport entre la circonférence d’un cercle quelconque et son diamètre, dans une géométrie euclidienne ; c'est aussi la valeur du rapport entre la superficie d'un cercle et le carré de son rayon. Aussi appelé constante d'Archimède, le nombre π est environ égal, en écriture décimale, à 3,141593. De nombreuses formules scientifiques, dans des domaines tels que la physique, l'ingénierie et bien sûr les mathématiques, impliquent π, qui est une des constantes mathématiques les plus importantes[1]. π est un nombre irrationnel, c'est-à-dire qu'on ne peut pas l'exprimer comme un rapport de deux nombres entiers ; ceci entraîne que son écriture décimale n'est ni finie, ni périodique. C'est aussi un nombre transcendant, ce qui signifie qu’il n'existe pas de polynôme non nul à coefficients entiers dont π soit une racine ; la preuve de ce résultat en 1882 est due à Ferdinand von Lindemann. La détermination d'une valeur approchée suffisamment précise de π et la compréhension de sa nature sont des enjeux qui ont traversé l'histoire des mathématiques ; la fascination exprimée par certains envers ce nombre l'a même fait entrer dans la culture populaire. Ajouter une légende Le nombre pi, noté par la lettre grecque du même nom π, est une constante mathématique dont la valeur est le rapport entre la circonférence d’un cercle quelconque et son diamètre, dans une géométrie euclidienne ; c'est aussi la valeur du rapport entre la superficie d'un cercle et le carré de son rayon. Aussi appelé constante d'Archimède, le nombre π est environ égal, en écriture décimale, à 3,141593. De nombreuses formules scientifiques, dans des domaines tels que la physique, l'ingénierie et bien sûr les mathématiques, impliquent π, qui est une des constantes mathématiques les plus importantes[1]. π est un nombre irrationnel, c'est-à-dire qu'on ne peut pas l'exprimer comme un rapport de deux nombres entiers ; ceci entraîne que son écriture décimale n'est ni finie, ni périodique. C'est aussi un nombre transcendant, ce qui signifie qu’il n'existe pas de polynôme non nul à coefficients entiers dont π soit une racine ; la preuve de ce résultat en 1882 est due à Ferdinand von Lindemann. La détermination d'une valeur approchée suffisamment précise de π et la compréhension de sa nature sont des enjeux qui ont traversé l'histoire des mathématiques ; la fascination exprimée par certains envers ce nombre l'a même fait entrer dans la culture populaire.

GALILEE


Galileo Galilei, est un physicien et astronome italien du XVIIe siècle, né à Pise le 15 février 1564 et mort à Arcetri près de Florence, le 8 janvier 1642. Il est célèbre pour avoir jeté les fondements des sciences mécaniques ainsi que pour sa défense opiniâtre de la conception copernicienne de l'univers.

Ses réalisations comprennent le perfectionnement de la lunette astronomique dont l'invention proviendrait de l'amélioration de la longue-vue conçue par l'opticien hollandais Hans Lippershey en 1608, ainsi qu'une amélioration notable au niveau des observations astronomiques comme la possibilité, par exemple, de confirmer les phases de Vénus. Dans le domaine des mathématiques et de la physique, il a surtout contribué à faire avancer les connaissances relatives à la cinématique et la dynamique.

Ardent défenseur du système de Nicolas Copernic (héliocentrisme), il s'est heurté à de vives critiques émanant des partisans du géocentrisme ainsi qu'à celles de l'Église catholique romaine. Il est considéré comme le père de l'observation astronomique et de la physique moderne.

DESCARTES

DESCARTES
René Descartes, né le 31 mars 1596 à La Haye en Touraine (localité rebaptisée Descartes par la suite) et mort à Stockholm dans le palais royal de Suède le 11 février 1650, est un mathématicien, physicien et philosophe français. Il est considéré comme l'un des fondateurs de la philosophie moderne : il théorise le cogito, fondant ainsi le système des sciences sur le sujet connaissant face au monde qu'il se représente. En physique, il est considéré comme le fondateur du mécanisme, et en mathématiques, de la géométrie analytique. Toutefois, certaines de ses théories ont par la suite été contestées (théorie de l'animal-machine) ou abandonnées (théorie des tourbillons ou des esprits-animaux). Sa pensée a pu être rapprochée de la peinture de Nicolas Poussin[1] pour son caractère clair et ordonné. Sa méthode philosophique et scientifique, exposée à partir de 1628 dans les Règles pour la direction de l'esprit, puis dans le Discours de la méthode en 1637, affirme constamment une rupture par rapport à la scolastique enseignée dans l'Université. Elle se caractérise par sa simplicité (Descartes la résume en peu de règles, quatre en tout dans le Discours de la méthode) et prétend rompre avec les interminables raisonnements scolastiques. Elle prend pour modèle la méthode mathématique, cherchant à remplacer la syllogistique aristotélicienne utilisée pendant tout le Moyen Âge. Descartes se rallie au système cosmologique copernicien qui a révolutionné la science, à l'instar de Galilée ; mais, par peur de la censure, il « avance masqué » (larvatus prodeo), diluant ses idées nouvelles sur l'homme et le monde dans ses pensées métaphysiques, qui révolutionneront à leur tour la philosophie et la théologie. L'influence de Descartes sera déterminante sur tout son siècle : les grands philosophes qui lui succèderont développeront leur propre philosophie par rapport à la sienne, soit en opposition (Hobbes, Pascal, Spinoza, Leibniz), soit en accord (Arnauld, Malebranche). Descartes affirme un dualisme radical entre l'âme (la res cogitans, la pensée) et le corps (la res extensa, l'étendue). Il radicalise sa position en refusant d'accorder la pensée à l'animal, le concevant comme une « machine », c'est-à-dire un corps dépourvu d'âme. Cette théorie sera critiquée à l'époque des Lumières, notamment par Voltaire, Diderot et Rousseau.

George Ivanovitch GURDJIEFF (1866 ou 1872-1949)

George Ivanovitch GURDJIEFF (1866 ou 1872-1949)
Georges Ivanovitch GURDJIEFF La 4ème voie selon G. Gurdjieff : des automatismes à la maitrise de soi ! « Une des meilleures manières de faire naître en vous le travail intérieur est de comprendre que vous pouvez mourir à chaque instant. » G.I.Gurdjieff est certainement pour ceux qui connaissent bien la spiritualité contemporaine un des grands maîtres spirituels de la première moitié du XXe siècle. Il est pourtant mal connu du grand public et parfois incompris, Gurdjieff est en effet un personnage atypique et mystérieux comme tous les maîtres authentiques. Né en Géorgie, il s’est initié notamment dans des écoles soufies de l'Asie centrale lors de ses nombreux voyages. Il a aussi longtemps habité à Paris. Gurdjieff était un maître qui a eu assez peu de « disciples » (ou élèves) car il ne faisait pratiquement aucun compromis. Il disait sans concession que l'homme "ordinaire" dans son état de veille habituel, est un être en sommeil qui n’atteint pratiquement jamais la conscience. La plupart des êtres humains vivent comme des machines, ils réagissent mécaniquement aux stimulus externes et internes, sans être maîtres de eux-mêmes. Toutes nos pensées et nos émotions ne sont essentiellement pour Gurdjieff que des réactions mécaniques inconscientes. Ce qui lui fait dire que nous n’avons pas de « Je » réel. Notre ego n’est que la somme de voix contradictoires qui se manifestent au gré des circonstances. Pour Gurdjieff, seule une élévation de notre niveau de conscience par le travail de méditation peut nous permettre de cristalliser notre « Moi » profond et d’atteindre la véritable maitrise intérieure. Le but de la Quatrième Voie est donc de se libérer du pouvoir de nos automatismes et de notre inconscience et d’élever sa conscience.

TIMOTHY LEARY @ HARVARD

TIMOTHY LEARY @ HARVARD
::Open your Mind:: Timothy Francis Leary, Ph.D teaching in Harvard Timothy Francis Leary, Ph.D. was an American writer, psychologist, and advocate of psychedelic drug research and use. Francis Leary (October 22, 1920 – May 31, 1996) was an American writer, psychologist, futurist, modern pioneer and advocate of psychedelic drug research and use, and one of the first people whose remains have been sent into space. An icon of 1960s counterculture, Leary is most famous as a proponent of the therapeutic and spiritual benefits of LSD. He coined and popularized the catch phrase "Turn on, tune in, drop out." Rightly called the Galileo of Consciousness, he went public with his observations of the mind made with psychedelic mindscopes and helped initiate a renaissance which is still only beginning to elaborate itself. "Think for yourself and question authority." ~ Timothy Leary "You're only as young as the last time you changed your mind." ~ Timothy Leary "Acid is not for every brain... Only the healthy, happy, wholesome, handsome, hopeful, humorous, high-velocity should seek these experiences. This elitism is totally self-determined. Unless you are self-confident, self-directed, self-selected, please abstain." ~

KANDINSKY ::Rhétorique de l'Hypertexte:: L'art du XXème

KANDINSKY ::Rhétorique de l'Hypertexte:: L'art du XXème
Les analyses de Kandinsky sur les formes et sur les couleurs ne résultent pas de simples associations d’idées arbitraires, mais de l’expérience intérieure du peintre qui a passé des années à créer des peintures abstraites d’une incroyable richesse sensorielle, à travailler sur les formes et avec les couleurs, observant longuement et inlassablement ses propres toiles et celles d’autres artistes, constatant simplement leur effet subjectif et pathétique sur son âme d’artiste et de poète d’une très grande sensibilité aux couleurs. Il s’agit donc d’une forme d'expérience purement subjective que chacun peut faire et répéter en prenant le temps de regarder ses peintures et de laisser agir les formes et les couleurs sur sa propre sensibilité vivante. Il ne s’agit pas d’observations scientifiques et objectives, mais d’observations intérieures radicalement subjectives et purement phénoménologiques qui relèvent de ce que le philosophe Michel Henry appelle la subjectivité absolue ou la vie phénoménologique absolue.

YVES KLEIN

YVES KLEIN
Franchir le seuil de l’invisible : Du bleu aux trois couleurs Qu’évoque le nom d’Yves Klein, si ce n’est tout d’abord le bleu outremer de ses tableaux monochromes ? Ces peintures mystérieuses, à l’aspect velouté, qui à chaque fois qu’on les voit procurent l’impression de plonger dans la couleur pure, sont en effet les œuvres les plus connues de l’artiste, au point de devenir emblématiques de son travail. Yves Klein a lui-même associé son nom au bleu de ces tableaux en le baptisant du sigle IKB, International Klein Blue, et signait souvent ses œuvres « Yves le Monochrome ». Pourtant, l’œuvre d’Yves Klein se limite-elle à ces tableaux ? Dès ses premières années, outre ces réalisations, il propose une multiplicité d’œuvres qui rompent avec le caractère malgré tout traditionnel des Monochromes, lesquels sont encore des peintures sur toile. Il crée des œuvres éphémères et immatérielles, comme un lâcher de mille et un ballons bleus dans le ciel de Paris en 1957, une exposition qui n’est qu’une galerie vide en 1958, ou la vente de « zone de sensibilité picturale immatérielle » en 1959. Il publie des manifestes qui invitent à interpréter son œuvre dans le sens d’une quête de l’immatériel. Ainsi les monochromes bleus ne seraient que la face la plus visible de son art, comme les traces d’un travail plus fondamental mais qui reste à découvrir, ou comme le dit Klein lui-même : « Mes peintures ne sont que les cendres de mon art ». L’exposition Yves Klein. Corps, couleur, immatériel propose d’effectuer une relecture de l’œuvre de Klein à partir de cette déclaration, en situant les Monochromes bleus dans un ensemble plus vaste, comme la première étape d’un travail qui prend appui sur le visible pour franchir le seuil de l’invisible. Couleur de la sensibilité, le bleu n’est en effet que l’une de celles qu’il utilise dans les Monochromes ou les autres œuvres de sa maturité, relayée par l’or, matière de la transaction et du passage vers l’immatériel, et le rose figurant la chair, le spirituel incarné. A travers trois chapitres « Imprégnation », « Illumination de la matière » et « Incarnation » qui répondent aux trois couleurs, l’exposition retrace ce parcours de l’artiste et s’achève par la réunion des trois couleurs au sein d’œuvres tripartites, évoquant une trinité kleinienne : rassemblés en une œuvre, le bleu, l’or et le rose constituent le lien qui unit la chair et l’esprit et assure la transition de l’un à l’autre. Par cette trilogie des couleurs, l’artiste adapte le dogme religieux de l’incarnation à la problématique artistique, en le mettant à la disposition de chacun pour qu’il accède à l’invisible : « Ce qu’Yves Klein met en place est destiné à s’effacer devant le dialogue que le regardeur établit avec un au-delà, qui reste pour chacun à définir, et dont l’artiste se contente de proposer le principe, le moteur » (Camille Morineau, commissaire de l’exposition, in « Le Bleu, l’or et le rose : comment appropriation rime avec sublimation », catalogue de l’exposition). Revisitée de cette manière, l’œuvre d’Yves Klein peut être interprétée comme une ouverture généreuse vers l’au-delà dont chacun rêve.

LUCIO FONTANA

LUCIO FONTANA
"Lucio Fontana" Concetto Spaziale, multiple 1968 Multiple en plastique moulé, non signé, non numéroté, Lucio Fontana, né le 19 février 1899 à Rosario, province de Santa Fe, Argentine et mort le 7 septembre 1968 à Comabbio, près de Varese en Italie, était un sculpteur et un peintre italien d'origine argentine, fondateur du Mouvement spatialiste[1] associé à l'Art informel.

MARSHALL MC LUHAN

MARSHALL MC LUHAN
Marshall McLuhan naît le 21 juillet 1911 à Edmonton, en Alberta. En 1916, la famille déménage à Winnipeg, au Manitoba, où il fréquente l'Université du Manitoba. Il y obtient son baccalauréat et sa maîtrise en arts. Il poursuit ses études à Cambridge, en Angleterre, où il étudiait la Nouvelle Critique sous la gouverne de F. R. Leavis et de I.A. Richards. Il obtient là aussi un baccalauréat et une maîtrise en arts. Il se convertit au catholicisme en 1937, nommé conseiller du Vatican en 1976. En 1936, McLuhan accepte un poste de professeur adjoint au Département d'anglais de l'Université du Wisconsin. Puis il enseigne à l'Université St. Louis, première d'une série d'institutions catholiques auxquelles il sera affilié. C'est durant son séjour à St. Louis qu'il rencontre Corrine Lewis, qu'il épouse en 1939, peu avant de retourner à Cambridge poursuivre des études doctorales. Une fois son doctorat terminé, il s'installe de nouveau à St. Louis et commence sa carrière comme professeur.[1] En 1944, McLuhan revient au Canada. Il enseigne de 1944 à 1946 au Collège Assumption à Windsor (Ontario). En 1946, McLuhan déménage à Toronto, la capitale provinciale, pour enseigner la littérature anglaise au collège catholique St. Michael, qui fait partie de l'Université de Toronto. Il reste à Toronto jusqu'en 1979, pour la plupart comme chef du Centre for Culture and Technology. McLuhan est membre de l'école de communication de Toronto. Théorie de la communication [modifier] L'idée maîtresse que l'on retrouve à travers les ouvrages de McLuhan tient en une seule phrase: «Le message, c'est le médium». Ce n'est pas le contenu qui affecte la société, mais le canal de transmission lui-même. Un exemple simple permet de mieux saisir cette affirmation: l'imprimé est un média, car il permet de transmettre une information depuis un émetteur vers un récepteur. En tant que média, il est plus rapide que la parole transmise de bouche à oreille, par exemple. Mais plus que le gain de temps, c'est la plus grande distance parcourue par cet imprimé dans un laps de temps constant qui importe. Considérons une cité donnant des ordres à ses garnisons via l'imprimé, l'association de celui-ci avec la roue et la route permet de contrôler une région notablement plus vaste. Ce média a un rôle profondément centralisateur: il induit automatiquement une société structurée autour d'un centre donneur d'ordres. McLuhan situe le message non pas dans le seul sens exprimé par l'émetteur, mais dans la combinaison unique de l'effet message / média (pragmatique de la communication). Ainsi, l'expérience vécue du média utilisé (téléphone, Internet, etc.) est remise en premier plan, subordonnant le message au média, et inversant ainsi la traditionnelle opposition fond / forme. En énonçant que le média, c'est le message, il énonce entre autres que le fond (l'important) c'est la forme prise par le média (l'effet de la technologie), ainsi que sa combinaison avec son message. Selon lui, les exemples se multiplieront naturellement à l'âge électronique: ces structures se révèleront d'elles-mêmes, permettant de les discerner plus aisément. Par exemple, une conversation identique transmise de personne à personne, par le téléphone ou par le biais de la messagerie instantanée est vécue différemment selon son mode de transmission. En outre, le médium utilisé influence considérablement nos sens et, par là même, notre cerveau; à tel point que le contenu même du message peut s'en trouver grandement affecté. Imaginons par exemple qu'en ouvrant un album de famille on y découvre une photographie représentant une jeune fille avec une fleur à la bouche. Jolie photo. Imaginons maintenant la même photo tirée en grand format et exposée dans une célèbre galerie d'art contemporain. Dans le premier cas, on dit: cette photo est sympathique, mignonne, etc. Dans le second cas, on dit: « Vraiment sublime, cette image ! Quel grand photographe ! » L'« habillage », c'est-à-dire la galerie et même la signature de l'artiste, nous a grandement influencés par rapport au contenu: une simple jeune fille avec une fleur. Idem pour le goût: une étiquette de Château-Margaux ou celle d'un vin quelconque, collée sur la même bouteille, n'aura pas la même influence sur la dégustation...On "boit l'étiquette"; Le cerveau travaille à notre insu ! Par ailleurs, McLuhan classe les médias en deux grandes catégories. D'un côté, les médias « chauds », qui ne demandent la participation que d'un seul de nos sens. L'information reçue par ce sens étant d'entrée de jeu très riche, la participation du cerveau est faible. De l'autre côté, les médias « froids » qui s'adressent à plusieurs sens et sont plutôt pauvres. Ils demandent de la part du récepteur une participation très importante pour compenser cette pauvreté. Ainsi, à cause de la très grande différence de qualité des images, le cinéma est « chaud », alors que la télévision est « froide ».

BREAT EASTON ELLIS

BREAT EASTON ELLIS
Bret Easton Ellis Bret Easton Ellis (né le 7 mars 1964 à Los Angeles) est un écrivain américain. C'est l'un des auteurs principaux du mouvement Génération X et on le classe parfois parmi les romanciers d'anticipation sociale. Il se considère comme un moraliste, bien que certains voient en lui un nihiliste. Ses personnages sont souvent jeunes, dépravés et vains, mais ils en sont conscients et l'assument. Ellis situe ses romans dans les années 1980, faisant du mercantilisme et de l'industrie du divertissement de cette décennie un symbole. Ses livres, des contre-utopies (autrement dit des dystopies) qui se déroulent souvent dans des métropoles américaines (comme Los Angeles et New York), sont peuplés de personnages récurrents. D'un roman à l'autre, on retrouve des personnages et des décors. Ainsi, l'auteur fait souvent référence au Liberal arts college de Camden, largement inspiré de Bennington College où il a lui-même étudié. Par ailleurs, Sean Bateman (Les Lois de l'attraction) est le petit frère de Patrick Bateman (American Psycho). Patrick fait une brève apparition dans Les Lois de l'attraction et Sean en fait une dans American Psycho les deux scènes étant à chaque fois des déjeuners entre frères. Paul Denton fait lui aussi une simple apparition dans American Psycho, dévisageant Patrick Bateman dans un restaurant. De même, Victor Ward, personnage secondaire dans (Les Lois de l'attraction) devient le héros de Glamorama où l'on retrouve également Lauren Hynde (Les Lois de l'attraction). On peut également deviner dans Les lois de l'attraction la présence à un cours de Clay, l'anti-héros de Moins que zéro, il sera par ailleurs le narrateur d'un chapitre du livre. Plus subtilement encore, de nombreux personnages de l'oeuvre d'Ellis, tels qu'Alana et Blair de Moins que Zéro apparaissent dans Zombies, recueil de nouvelles apparemment rédigées avant la publication de Moins que Zéro. On retrouve également Alison Poole, la terrible fille à papa empruntée à Jay McInerney, dans American Psycho et Glamorama. Timothy Price, collègue de Patrick Bateman dans American Psycho devient dans Zombies un véritable vampire. Jamie Fields, mannequin recherchée dans Glamorama n'est autre que le grand amour de Victor Ward dans Les lois de l'attraction... Bibliographie [modifier] * 1985 : Moins que zéro (Less Than Zero) : Christian Bourgois, 1986, trad. Brice Matthieussent * 1987 : Les Lois de l'attraction (The Rules of Attraction) : Robert Laffont, 1988, trad. Alain Defossé * 1991 : American Psycho : Robert Laffont, 1992, trad. Alain Defossé * 1994 : Zombies (The Informers) : Robert Laffont, 1996, trad. Alain Defossé * 1998 : Glamorama : Robert Laffont, 2000, trad. Pierre Guglielmina * 2005 : Lunar Park : Robert Laffont, 2005, trad. Pierre Guglielmina * 2010 : Suite(s) impériale(s) (Imperial Bedrooms, suite de Moins que zéro) Adaptations au cinéma [modifier] * 1987 : Neige sur Beverly Hills (adaptation de Moins que Zero) * 2000 : American Psycho * 2002 : Les Lois de l'attraction * 2009 : Informers (adaptation de Zombies)

DERRICK DE KERCKHOVE - BUSINESS, CULTURE AND NEW TECHNOLOGIES

DERRICK DE KERCKHOVE - BUSINESS, CULTURE AND NEW TECHNOLOGIES
Director of The Mc Luhan Program Derrick at his home in Wicklow, May 2007 (Photo: Frieda A. Luk) Derrick with fellows at CH, July 2007 Derrick de Kerckhove, Director of the McLuhan Program in Culture & Technology since 1983, is a Full Professor in the Department of French at the University of Toronto, cross-appointed at the Faculty of Information Studies and the Knowledge Media Design Institute. He received his Ph.D. in French Language and Literature from the University of Toronto in 1975 and a Doctorat du 3e cycle in the Sociology of Art from the University of Tours (France) in 1979. He was an associate of the Centre for Culture and Technology from 1972 to 1980 and worked with Marshall McLuhan for over ten years as translator, assistant and co-author. He has worked on two collections of essays on McLuhan, culture, technology and biology, namely Understanding 1984 (UNESCO, 1984) and McLuhan e la metamorfosi dell'uomo (Bulzoni, 1984). Other publications include The Alphabet and the Brain (Springer Verlag, 1988), La civilisation vidéo-chrétienne (Feltrinelli, 1991), both books on the impact of the alphabet on mind and society, research taken further in Brainframes: Technology, Mind and Business (Bosch & Keuning, 1991). The Skin of Culture (Somerville Press, 1995) is a collection of essays on the new electronic reality, which stayed on Canadian best-sellers lists for several months. Connected Intelligence (Somerville, 1997) introduced his research on new media and cognition. Both were translated in a dozen languages including Chinese, Japanese, Korean, Polish and Slovenian. The Architecture of Intelligence was conceived and supported by and for networks. It was first issued in Dutch in December 2000, and in English in June 2001, in Italian and German in September 2001. Two books were then published in Italy. La conquista del Tempo (Editori Riuniti, 2002) presents commissioned essays from many contributors on the management and perception of time in past and present technologies. La Carta di Zurigo discusses space transformed by networks and screens with architects Peter Eisenman and Antonino Saggio. His most recent book, McLuhan for Managers, in collaboration with Mark Federman, was published in September 2003. He is also contracted to work on La fenice virtuale, a book about the history of stage performance from early Greek theatre to modern Opera, in collaboration with Francesco Monico. Three new books are in preparation for publication in the fall of 2007, L'uomo letterato (translated by Antonio Caronia), Le psicotecnologie (Uninettuno, with Maria Amata Garito) and The Point-of-Being (with Edith Ackermann, Maria Luisa Malerba, Antonio Mirabella, Cristina Miranda and Loretta Secchi). Still in progress are The Era of the Tag, with Andrea Cruciani and Matteo Ciasterllardi, and The Objective Imaginary with Vincenzo Susca. Derrick de Kerckhove has offered Connected Intelligence® workshops worldwide. In the same line, he has contributed to the architecture of Hypersession, a collaborative software now being developed by Emitting Media and used for various educational and administrative situations. This project has now evolved into ThinkTag, software that adds the numerous benefits of tagging data to the standard collaborative instruments. As a consultant in media, cultural interests, and related policies, Derrick de Kerckhove has participated in the preparation and brainstorming sessions for the plans for: the Ontario Pavilion at Expo '92 in Seville, the Canada in Space exhibit, and the Toronto Broadcast Centre for the CBC. He was involved in plans for a major exhibit on Canada and Modernism at the Cité des sciences et de l’industrie in Paris for 2003-4 and has been working on The Global Village Square, a global architecture project proposing a permanent public video-meeting point between Toronto and two Italian cities, Naples and Milan. He was a member of several government task forces on developing a telecommunications policy for Ontario, designing a cultural policy for the francophone community in Ontario, and also appeared before the CRTC Public Hearing Committee on the Information Highway. A World Economic Forum Fellow, de Kerckhove was decorated by the Government of France with the order of “Les palmes académiques” and has been a member of the Club of Rome since 1995. In the Fall of 2003, he was appointed co-chair, as the Canadian representative, for ICT trade between Canada and Italy by the Department of External Affairs in Canada and the Ministero delle attivita produttive of the Italian government. For 2004-6, he was awarded the Papamarkou Chair in Technology and Education at the Library of Congress in Washington, where he was running a series of conferences and seminars on “Managing creativity in the digital context”. This series was covered live by C-Span. Starting in January 2007, he returned to Italy to engage in the last of a three year national Fellowship “Rientro dei cervelli”, at the Faculty of Sociology of the University Federico II in Naples. He has been invited to return to the Library of Congress for a further engagement during the Spring of 2008.

Stephen W. HAWKING

Stephen W. HAWKING
♥Stephen W. Hawking♥ CH, CBE, FRS, FRSA, est un physicien théoricien et cosmologiste anglais, né le 8 janvier 1942 à Oxford. Hawking a été professeur de mathématiques à l'Université de Cambridge de 1980 à 2009[1], membre de Gonville and Caius College, Cambridge et chercheur distingué du Perimeter Institute for Theoretical Physics[2]. Il est connu pour ses contributions dans les domaines de la cosmologie et la gravité quantique, en particulier dans le cadre des trous noirs. Il a également eu du succès avec ses œuvres de vulgarisation scientifique dans lesquelles il discute de ses propres théories et de la cosmologie en général, comme le best-seller A Brief History of Time, qui est resté sur la liste des records des bestsellers du Sunday Times pendant 237 semaines consécutives[3]. Hawking a une dystrophie neuromusculaire qui est liée à la sclérose latérale amyotrophique (SLA), sa maladie a progressé au fil des ans et l'a laissé presque complètement paralysé. La clé des principaux travaux scientifiques d'Hawking à ce jour est fondée, en collaboration avec Roger Penrose, sur l'élaboration des théorèmes des singularités dans le cadre de la relativité générale, et la prédiction théorique que les trous noirs devraient émettre des radiations, aujourd'hui connu sous le nom de radiation d'Hawking (ou parfois en tant que radiation de Bekenstein-Hawking)[4]. C'est un physicien théoricien de renommée mondiale dont la carrière scientifique s'étend sur plus de 40 ans. Ses livres et ses apparitions publiques ont fait de lui une célébrité universitaire. Il est membre honoraire de la Royal Society of Arts[5] et est membre à vie de l'Académie pontificale des sciences[6]. En 1981, il est lauréat de la médaille Franklin. L'astéroïde (7672) Hawking a été nommé en son honneur.

MAURICE BENAYOUN

MAURICE BENAYOUN
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